mardi 15 octobre 2013

Les femmes, les arbres et les architextes architêtes architectes j'y arriverai !





 Montreuil

Montreuil la ville aux 90 nationalités où on se sent bien (et parfois même un peu exotique mais ça a son charme). La communauté malienne est devenue si importante ces dernières années que ses habitants appellent parfois leur ville avec humour Bamako-sur-Seine. La population se diversifie et se "boboïse" avec l'arrivée de jeunes et moins jeunes actifs appartenant aux catégories socio professionnelles intellectuelles, scénaristes ou réalisateurs, techniciens du spectacle, artistes etc. On s'y sent bien, passant d'une rue à l'autre de Dakar à Fès ou Dhiarbackir.. avec un tour par la Provence et les Cévennes. Bétonnage modéré jusqu'à présent, les employés municipaux veillent. Petits troquets, bistrots qui font "cantines" ouvrières pas chers et bons. Des "bobos" chics et classe, des artistes (parfois les deux ensemble) ou des auteurs (!) des célèbres friqués et des non célèbres fauchés (ou des célèbres fauchés!) y côtoient des roms et des travailleurs du bâtiment de retour de leurs chantier parlant turc ou kurde. Ça me le remet en mémoire.


Malakoff-côté Clamart (le centre ville est différent, plus vivant)
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Là, c'est carrément Saint Ambroix, tout fermé à 8-9 heures, dimanches tristounets, mais il y a le bois, heureusement.. On sent la souvent vieille bourgeoisie (parfois en déconfiture) qui se la pète d'autant plus... Ou se la joue artiste mais bétonne tankipe.. Mmm suivez mon regard. Deux images.
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UN PROJET DE "CONSTRUCTION" 
D'UN ÉTOURDI KAPAPENSEATOUT 
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 L'existant comme on dit, une petite maison
 en meulière harmonieuse mais inconfortable..
et deux cerisiers dont voici le plus vieux, énorme
"mal placé" comme ils disent, (et très productif).

 Le projet : plus d'arbres, puis un seul,
 le vieux cerisier étant censé être abattu..
"on" a fait des concessions"..






Un saccage annoncé (mais qui n'aura pas lieu) de la part.. d'écolos philanthropes (ex écolos et ex humanistes en réalité) qui évidemment ne veulent que le bien de tous ("il faut bien loger les gens à Malakoff, yenatankivivedandétodi"..) belles âmes. La cul terreuse cévenole (ça m'a à peu près été dit en ces termes!!) et fière de l'être survenue juste avant la tronçonneuse se bagarre hard pour le sauver (et par chance est propriétaire de la moitié de l'ensemble.) Ne riez pas, parfois c'est dur (et d'autres fois comique aussi.) 
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Un gag en effet. Avis aux auteurs. Voilà donc un distrait qui a : 1 mis sa (notre) maison en péril (un incendie malencontreux, une cuisinière tip top dont il n'avait pas lu le schémas des boutons de chauffe, assez abscons peut-être -?- bref, il a posé un truc en plastique sur un feu, son ragoût sur l'autre.. a mis à cuire le truc en plastique.. et s'en est allé danser au jardin ou cueillir des cerises, comme dans la chanson (pas de panique il y a un minuteur).. 2 un autre idem à Montreuil, deux ans pour des travaux qui eussent dû prendre un mois, une poutre insuffisante (et tant d'autres choses plus graves qui ne sont pas de son fait).. d'où péril et 3 un studio attenant à la maison aussi (des fils électriques qui pensent non pardon, qui pendent au dessus d'un sol inondé par un chauffe eau juste devant une douche mal réglée... bon, mais ici il n'y a pas de co pro pour gueuler, juste moi qui risque l'électrocution chaque jour)... et qui me reproche de ne pas savoir gérer un patrimoine. Mmm... 

mardi 1 octobre 2013

STOP SVP de croître !


Arrêtons de nous reproduire !





Un texte de Schopenhauer à ne pas lire si vous être un minimum romantique.. mais bon, pas si faux, en transposant homme-femme ! ON EST 7 MILLIARDS. CA SUFFIT !

"Manifestement le soin et la peine avec lequel un insecte recherche telle fleur, tel fruit, tel fumier, ou telle viande pour y déposer ses œufs est analogue à celui avec lequel l'homme choisit une femme si ardemment que pour atteindre son but, au mépris de tout bon sens, il sacrifie le bonheur de sa vie pour servir l'espèce conformément à la volonté de la nature, même si c'est au détriment de l'individu. L’instinct n'est en règle générale, attribué qu'aux animaux et aux espèces qui ont le moins de raison; il n'est donné à l'homme que dans le cas examiné ici où la vérité prend la forme de l'illusion, d’un mirage voluptueux qui leurre l'homme croyant que la possession d'un individu unique auquel il aspire exclusivement lui apportera le bonheur suprême.. alors que tout cela n'a lieu que pour conserver le type normal de l'espèce, ou même pour amener à l'existence une individualité qui ne peut naître que de ces parents-là".

Chemtrail.. un lien plus qu'inquiétant !


http://blogs.mediapart.fr/blog/chamallow/280913/snowden-revelations-propos-des-chemtrails

.. que nous devons à Snowden!  


Donc si j'ai bien compris, sans ce-qui-crée-ces-machins (on-ne-sait-quoi) on serait déjà grillés.. sauf que ces machins sont aussi fait d'on-ne-sait-quoi (les scien-tiques non plus sans doute ou alors motus) sur lequel on n'a aucun recul ni aucune info.. peut-être encore plus dangereux, mais à plus long terme. Spirale. Reeves a raison, nous allons vers la 6ième extinction de masse d'espèce et cette fois c'est la nôtre. Pas trop gai mais ça soulagera la terre pour quelques millions d'années.

dimanche 8 septembre 2013

Dis moi comment tu chies et je te dirai qui tu es

On remarque que la position de défécation a évolué récemment en fonction d'une certaine mégalomanie humaine: d'abord accroupi (les paysans ou moi même le pratiquent encore) derrière un arbre, ensuite le pot de chambre caché dans la table de nuit, puis il "monte" encore avec le seau dit hygiénique, plus haut et qui a l'avantage d'être fermé et relativement inodore, ensuite, on arrive à "nos" toilettes où on demeure assis comme en conférence mais occupé à un tout autre usage, avec chasse d'eau qui empêche que quiconque puisse être témoin de nos turpitudes etc.. si l'espèce humaine perdure encore 200 ans (ce que je ne crois pas) il y a gros à parier que l'homme de 2200 chiera debout l'air hautain de celui qui est au dessus de "ça". (Lien avec la vidéo)

samedi 7 septembre 2013

L'art perdu de bien chier (ancestral)



 (LIEN en français)

Some women, after one or more childbirth, sometimes, have the interface between the rear wall of the vagina and colon a little relaxed and and to defecate they are forced to push more. So, they adopt for themselves this position, easier specially in their case. This position prevents constipation, haemorrhoids and all diseases related to the long retention of toxic matters in the colon, may be cancer.


The ideal : behind the olivers, or the baobabs as you have !

vendredi 6 septembre 2013

Vive le pot de chambre



Vive le pot de chambre par heleneclaude

La position assise pour déféquer reliée à l'invention des chasses d'eau (une catastrophe écologique) anti naturelle, requiert des efforts, ne permet pas le vidage complet du côlon et favorise hémorroïdes, maladies intestinales ou autres reliées au stockage de matières toxiques que l'on devrait théoriquement éliminer après chaque repas. L'idéal : faire comme nos ancêtres, chier accroupi, ou à la rigueur le bon vieux pot de chambre... plus sciure éventuellement (pas d'odeur) et compost.  

The seating position for going to shit (defecate), connected to the invention of flush toilet (an ecological disaster) anti natural, requires effort, does not allow complete emptying of the colon, promotes hemorrhoids, intestinal diseases and other related storage of toxic materials that should theoretically have to be eliminated after every meal. The ideal: do as our ancestors, squatting to shit, or possibly the old chamber pot ... with sawdust (no odor) and after, compost. Better for us and for earth.

samedi 22 juin 2013

L'espèce humaine en danger

Un excellent article sur la pollution de l'eau (entre autre) générateur des prémisses de l’extinction de notre patrimoine génétique (exemple les micro ondes). (Lien)

vendredi 31 mai 2013

Molères sur cèze, sur la promenade, un pêcheur..sans poissons




 Sur la promenade...




un pêcheur



qui se plaint de ne plus trouver de poissons (!) Il incrimine les hérons, trop voraces, qu'il aimerait voir disparaître. Et la pollution aussi, difficile à ne pas voir ni sentir.






mercredi 29 mai 2013

Huppe, triste (?) épisode

Suite de (lien avec la vidéo) 

Au moment où j'écris ceci, elle s'est envolée, très haut, impossible de la rattraper; j'avais décidé de lui donner "de l'autonomie" (!) briefée par une spécialiste-oiseaux dévoué mais genre pénible (style je sais tout j'ai une formation Madame, vous la coucounez trop, ce n'est pas un bébé, il fait la traiter avec toute la distance qui convient, la nature est bien faite etc etc)... Je l'ai cherchée en vain sur tout le terrain, un espoir tout de même, deux huppes (ses parents? ou un seul avec elle?) se sont envolées de l'endroit vers lequel je l'avais vue se diriger. 

Le nid supposé étant juste au dessus de sa "cage" j'ai quelque espoir que les parents ne l'aient jamais vraiment oubliée (ils la voyaient de là haut tout le temps que je la nourrissais et même dans sa "cage") et qu'ils l'aient appelée : depuis le matin, elle était différente, triste, comme redevenue sauvage, se cachant au fond de la cage sans se blottir contre moi comme d'habitude. La connerie, avant de partir : je l'ai prise sur mon épaule comme d'hab et hop, envolée, s'il y avait eu quelqu'un de grand avec moi je pouvais la rattraper, mais macache, même l'échelle n'a pas suffit (pas d'appui). 

J'ai tenté de la capturer avec un bâton (pour lui faire perchoir) et c'est là qu'elle a pris son envol vers le fond du terrain, très loin, d'où j'ai vu décoller deux huppes juste après (en fait, le temps d'arriver, j'ignore si l'une des deux n'est pas la "mienne", de loin, difficile d'apprécier les tailles.) Puis en revenant, un moment après, il me semble (?) sur la toiture, avoir aperçu une huppe (ça c'est sûr, mais est-ce la mienne?) me regarder longuement, juste au dessus de la cage, c'est à dire à l'endroit du nid. A-t-elle pu y revenir? Y a-t-elle été acceptée? Je le suppose car les parents ne l'ont jamais vraiment "quittée" et semblent du genre consciencieux : avant que je ne la trouve, ils ont voleté au moins 2 jours, sans doute plus, devant la maison, la cherchant -je l'ai compris lorsque je l'ai trouvée au grenier- et allant jusqu'à presque entrer chez moi, (c'est lorsque l'un d'eux s'est carrément perché sur les barreaux de la fenêtre en appelant que je me suis apperçue de leur manège qui durait sans doute depuis longtemps !)

Reviendra-t-elle si elle a faim? Le soir peut-être? La big spécialiste- huppe -sans doute agacée que j'aie refusé de la lui confier- a eu le toupet de me dire que c'était "de ma faute" (!) j'ai adoré, précisant avec une certaine satisfaction qu'elle était certainement fichue (effectivement elle ne sait pas se nourrir seule) parce qu'en aucun cas les parents ne la "reprendront": heureusement, elle a ajouté, pétrie de certitudes, qu' "au bout de deux jours, ils abandonnent, c'est la nature.. etc" et là au moins je sais qu'elle se trompe puisqu'ils l'avaient cherché pendant PLUS QUE CA auparavant. Inutile de la chercher a-t-elle conclu, elle ne reviendra jamais et mourra. "Le nid au dessus?" "Non vous dis-je les parents ne la prendront pas. Il n'y a aucun espoir, c'est votre imaginaire qui vous fait croire des illusions ... mais un oiseau ne pense pas comme vous, comprenez vous, c'est un animal sauvage et la nature.." Le discours téléologico scientifico concon commençant à me chauffer, j'ai coupé sec "c'est peut-être aussi le vôtre?" Comment ça, elle ne pigeait pas et j'ai dû préciser "mon imaginaire vaut le vôtre"; réponse nette : "en aucun cas" !! "Ah bon, vous êtes un oiseau?" Non mais elle s'y connaît, 25 ans de protection animale etc.. Lancée et de plus en plus furax, j'ai fini à la gourde par lui dire que désinfecter le sabot d'un cheval (500 kg) qui souffre après s'être mis un clou n'était pas mal non plus (en fait, je la lui ai joué Tartarin en revers car ce n'est pas si difficile que ça) "on risque non pas la peau de l'animal mais la sienne".. plus d'autres choses mais il paraît que ce n'est pas pareil. Certes mais l'observation, l'empathie, l'astuce et la patience requises sont les mêmes qu'il s'agisse d'un oiseau ou d'un canasson. 

Elle a été sympa tout de même à la fin lorsque je lui ai dit que j'allais grimper au grenier voir le nid : "ne le faites surtout pas, vous allez déranger et c'est dangereux".. sans souci de m'avoir dit lors de notre première rencontre "mais il fallait la remettre au nid, pourquoi ne l'avez-vous pas fait?" (!) et lorsque je le lui ai fait observer, elle a rétorqué sans se troubler le moins du monde "le même jour ce n'est pas pareil" ?!? Passons. Il paraît qu'un gus s'est fait crever un oeil dans ce genre se sport; à savoir, je mettrai la protection tondeuse. Comment ai-je pu croire une incohérente pareille qui se sent investie d'une compétence universelle, philo, animaux -ça, peut-être- mais comme tous les autodidactes, d'un assertorisme navrant? Qui entre autre pour être sympa m'a dit en conclusion, "éventuellement de l'appeler -la huppe- par son nom" alors qu'elle m'avait bien recommandé de ne pas trop l'investir, raison pour laquelle je ne lui en avais pas donné, justement, me reprochant à présent de ne pas l'avoir fait, ce serait plus commode etc.. Triste. Ce soir on saura qui a raison, enfin même pas de manière absolue..   

GAGNE (à demi) ! JE VIENS DE LA VOIR A L'INSTANT! ELLE EST PERCHEE SUR LE VASISTAS AU DESSOUS DU NID, A MI DISTANCE ENTRE LA CAGE ET SON "NID", comme si elle ne se résolvait pas à choisir (ou a-t-elle été rejetée et demeure-t-elle tout près au cas où?) Hésite-t-elle à revenir? Elle n'a pas encore très faim, tout à l'heure peut-être.. Elle est partie juste après (où?) dans le nid? sur le toit? je l'ignore, ça s'est passé en une seconde. (Pas au grenier en tout cas.) Et il est impossible d'y accéder car il est en bout de toiture, sur les génoises. J'ai laissé le vasistas ouvert malgré la pluie, j'espère qu'elle va entrer. Suite du suspense tout à l'heure.

Huppe, quelques indications



Si vous en trouvez une tombée du nid, sachez qu'elle est tout à fait sauvable mais qu'il faudra la nourrir (et au début, la gaver, si elle a moins de 3 semaines et n'a pas acquis le coup de bec pour envoyer sa portion au fond du gosier -sa langue est trop courte-, ni même le réflexe de l'ouvrir toute seule lorsqu'elle a faim, son âge se voit à sa maladresse et à ses plumes, si elles sont encore en partie tuyautées, c'est un bébé de moins de 3 semaines et il faudra la gaver encore au moins dix jours) .. de mouches, insectes -morts, il faut les tuer-, asticots (son régal) morts également, il faut leur couper la tête (!), croquettes de chats ramollies et malaxées en boules, le top, c'est du coeur d'agneau dégraissé et coupé en petits morceaux.. ou de la viande hachée maigre bien dégraissée en cas d'urgence.. ou d'une pâtée spéciale oiseaux insectivores à 4,30 E le sachet (minuscule!)... et sachez aussi qu'elle mange presque la moitié de son poids/jour de ces mixtures (toutes les 3 h). Pas d'eau, l'alimentation la lui apporte, pas d'insectes vivants, sa salive et ses sucs gastriques ne lui permettent sans doute pas encore de les détruire et c'est eux qui risqueraient de la dévorer. Il faut lui ouvrir délicatement le bec (elle se débattra, c'est normal) avec un ongle ou un petit couteau, le tenir largement ouvert comme un entonnoir et lui envoyer la boulette ou les morceaux tout au fond, quitte à pousser légèrement si ça accroche, ne pas avoir peur, il faut que ça rentre! Soit avec une pince à épiler, soit avec les doigts ou un ongle. 

Attention au moment où elle va savoir voler, ça ne prévient pas, et éviter les chiens ou chats à côté. Si elle décide de se percher au sommet d'un arbre, surveillez la, elle risque de revenir et de se balader au sol (elle n'aura sans doute plus peur des hommes ni de rien et sera donc très vulnérable) !! 

Pour éviter de l'apprivoiser, (c'est une espèce protégée qu'il faudra relâcher dès qu'elle sera suffisamment forte et autonome) il faut seulement la nourrir et la remettre en cage dès le repas fini, sinon il sera dangereux de lui rendre sa liberté, même juste pour une balade. S'il fait froid, mettre du foin (jamais de coton ou de textiles) et introduire un petit carton assez fermé dans la "cage", la cage étant aussi bien une caisse de transport pour chat ou chien si elle a une porte grillée (toujours exposée au soleil et à l'abri du vent, voire isolée de couvertures) pour qu'elle puisse se blottir.. ou la rentrer la nuit si elle n'est pas suffisamment plumée... mais il faudra alors la ressortir le matin tôt de sorte que ses parents puissent éventuellement la nourrir. La cage doit être bien haute voire suspendue contre un mur si possible. Posez un appui -une branche, une planchette- juste devant pour que les parents puissent s'y tenir, le tout hors d'accès de chats-chiens qui risquent de les crocher au moment du nourrissage. (Affairés, il prennent tous les risques.) Ici un lourd barbecue en fonte haut sur pattes où aucun matou ne peut grimper, pas plus que sur l'arbuste aux banches souples d'à côté est au poil ce qui convient. Courage. Elle mange toutes les 3 heures. On voit en dessous du sternum un creux qui ne doit pas être trop important, signe alors d'insuffisance alimentaire.

dimanche 24 février 2013

La Cèze sous haute protection !


4/1/2013

 
23/2/2013


 
24/2/2013 




Non ce n'est pas un gag, c'est tiré de "Objectif-Gard"
 (lien) à la rubrique "écologie". 
 Avec ça, on est tranquille !!!

L'article de fond (lien)
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