"La très chère était nue et, connaissant mon coeur... parée de ses bijoux... dont le riche attirail.. "
03/11/2010 à 14h50 - mis à jour le 03/11/2010 à 20h07 | 446 vues | liens
"La très-chère était nue, et, connaissant mon cœur,
Elle n'avait gardé que ses bijoux sonores,
Dont le riche attirail lui donnait l'air vainqueur
Qu'ont dans leurs jours heureux les esclaves des Mores.
Elle n'avait gardé que ses bijoux sonores,
Dont le riche attirail lui donnait l'air vainqueur
Qu'ont dans leurs jours heureux les esclaves des Mores.
Quand il jette en dansant son bruit vif et moqueur,
Ce monde rayonnant de métal et de pierre
Me ravit en extase, et j'aime à la fureur
Les choses où le son se mêle à la lumière."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire